Alors qu’il souffle sa cinquième bougie, le Juke de deuxième génération profite d’une petite remise à niveau. Mais, ici, pas question de retouches esthétiques extérieures, même légères, ni même d’évolutions mécaniques. Nissan s’est, en réalité, limité à offrir une nouvelle planche de bord à son petit SUV… et à réintégrer dans son nuancier une teinte qui avait remporté un grand succès sur le premier opus. Essai de la version hybride.
- 1. Nissan Juke (2024) : petit coup de jaune (Essai vidéo)
- Revue de détails
- D’abord un look
- Equipements et options
- Esthétique / Carrosserie
- Options disponibles
- La concurrence : pas si nombreuse
- A retenir : une revue de détails plus qu’une véritable évolution
1. Nissan Juke (2024) : petit coup de jaune (Essai vidéo)
Note
de la rédaction
13,8/20
Note
des propriétaires
16,4/20
EN BREF
SUV urbain
Version restylée
Restyling
À partir de 30 700 €
Après le coup d’éclat du Qashqai, Nissan poursuit, dès 2010, son offensive sur le segment encore naissant des crossovers avec la première génération de Juke. Alors inspiré de la 370Z pour l’extérieur et par le monde de la moto pour l’intérieur, son dessin original lui assure, dès les premières semaines de commercialisation, un succès conséquent. À tel point que ce modèle s’écoulera à plus d’un million d’exemplaires en Europe.
Aussi, lorsque se pose la question de son renouvellement, Nissan se retrouve face au dilemme que connaissent tous les producteurs de best-seller. Faut-il repartir d’une feuille blanche, au risque de dérouter certains clients fidèles, ou, au contraire, faire évoluer en douceur ce modèle, quitte à lasser ces mêmes fidèles ? La réponse apparaît en 2019 sous la forme du Juke 2, dont les lignes rappellent immanquablement celles de son prédécesseur tout en semblant assagies.
L’éclairage avant du Juke se fait, depuis toujours, via plusieurs éléments indépendants.
Tout comme la proue, la poupe de ce millésime 2024 est inchangée.
Commercialisé, dans un premier temps, avec l’unique 3 cylindres 1.0 Turbo (117 ch, puis 114 ch), le nouveau Juke convainc moins. Il reçoit donc, en renfort, la motorisation hybride développée par Renault en 2022.
Malgré son appellation, la motorisation hybride du Juke est bien l’E-Tech de Renault.
Depuis, et même si son dessin a peu vieilli, le Juke n’avait pas évolué. Il était donc temps de le faire repasser sur la table à dessin. Mais, en l’occurrence, uniquement celle du bureau de style chargé de l’habitacle. En effet, si le millésime 2024 reçoit une toute nouvelle planche de bord, il n’a droit à aucune modification, même minime, à l’extérieur. De même, ses deux moteurs sont repris tels quels. Un restylage à minima donc, au point que la marque a principalement axé sa communication sur le retour du jaune parmi les couleurs possibles.
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Revue de détails
La nouvelle planche de bord mérite toutefois que l’on s’intéresse de près à elle. Tout d’abord parce que, visuellement, elle donne un sacré coup de jeune à l’habitacle. L’écran simplement posé sur la partie supérieure de la console est désormais ceinturé par une arche qui court jusqu’au-dessus du bloc d’instrumentation. Au passage, cette tablette grandit fortement, puisqu’elle mesure désormais 12,3″ de diagonale, et elle reçoit une interface et des graphismes totalement revus. De nouvelles fonctions y sont également intégrées telles qu’une commande vocale de dernière génération, l’affichage du prix des carburants et la lecture des panneaux de limitation de vitesse. Les commandes de climatisation restent toutefois indépendantes, ce qui permet de les utiliser intuitivement, même lorsque l’on conduit.
Au passage, le Juke améliore la qualité de sa présentation. Si, en partie inférieure du mobilier de bord, les plastiques bon marché sont toujours de rigueur, un nouveau matériau moussé habille une large partie du dessus de la planche de bord. Cette impression qualitative est encore plus flagrante sur la nouvelle finition N-Sport, à la présentation plus dynamique. Cette variante intègre, en effet, des inserts en Alcantara jaune sur la planche de bord ainsi que sur ses sièges (habillés, par ailleurs, d’un matériau imitant le cuir). Naturellement, sur l’ensemble de la gamme, version d’entrée de gamme Acenta exceptée, le classique combiné d’instrumentations a laissé place à une dalle personnalisable.
D’abord un look
À moins de vouer une passion sans borne au jaune (la teinte de carrosserie, pas la boisson marseillaise), les raisons de signer, ou pas, un bon de commande pour un Juke neuf sont par ailleurs inchangées. Son design unique est ainsi, à lui seul, une raison suffisante pour craquer. Son rapport prix/prestations/équipement est également un motif recevable.
En revanche, pour un usage familial, ce nippon montrera rapidement ses limites. Ainsi, si l’espace aux places avant est tout à fait confortable, c’est un peu moins le cas à l’arrière. Deux adultes pourront toutefois, lors de trajets pas trop longs, prendre place sur la banquette. Il faudra toutefois composer avec une sensation d’enfermement assez prononcée, due à la surface vitrée limitée. Mais aucun toit vitré, ouvrant ou pas, n’est disponible, même en option, pour résoudre ce problème.
De même, le volume de coffre reste dans la moyenne, mais ses formes régulières et, une fois la banquette rabattue, le plancher presque plat le rendent facile à charger. La modularité reste par ailleurs basique puisqu’elle se limite aux dossiers de banquette rabattables selon le schéma 1/3-2/3.
Les sièges avant Sport assurent de longs trajets confortables aux places avant.
L’habitabilité aux places arrière n’est pas un point fort de ce nippon.
Cette remise à niveau est l’occasion, pour le Juke, d’arborer le nouveau logo de la marque.
Par ailleurs, si nous avons souligné les efforts faits en matière de qualité de présentation intérieure, force est de constater que le Juke demeure, sur ce point, dans la simple moyenne de sa catégorie. En effet, certains ajustements entre les éléments du mobilier de bord ne sont pas irréprochables.
Comme nous l’avons déjà souligné, en matière de mécanique, le Juke 2024 ne fait que reprendre l’offre déjà présente jusqu’alors. Plus question donc, sur cette génération, de transmission intégrale, de versions sportives ou de blocs Diesel. Le choix est simplement possible entre le 3 cylindres 1.0 Turbo de 114 ch, accolé à une boîte manuelle à 6 rapports en série mais qui peut recevoir, contre 1 700 €, une transmission robotisée à double embrayage et 7 vitesses, et la variante Hybrid. Sous ce terme, c’est bien le mariage, mis au point par l’associé Renault, entre un 1.6 essence de 94 ch, un moteur électrique et une boîte à crabots, un trio que le constructeur tricolore baptise E-Tech, que l’on retrouve. L’ensemble développe toujours 143 ch et devrait s’arroger la majorité des ventes dans notre pays.
A contrario, le nombre de propositions en matière de finitions reste conséquent puisque, malgré la disparition de l’entrée de gamme Visia, on en compte toujours 5 nommées, par ordre de montée en gamme, Acenta, N-Connecta, Tekna, N-Sport et N-Design.
Chiffres clés *
- Longueur : NaN m
- Largeur : NaN m
- Hauteur : NaN m
- Nombre de places : 5 places
- Volume du coffre : 354 l / 1 237 l
- Boite de vitesse : Auto. à 4 rapports
- Carburant : Hybride essence électrique
- Taux d’émission de CO2 : 0 g/km
- Bonus / Malus : 0 €
- Date de commercialisation du modèle : Septembre 2019
* A titre d’exemple pour la version II (2) 1.6 HYBRID 143 N-SPORT 2024.
Le bonus / malus affiché est celui en vigueur au moment de la publication de l’article.
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2. Nissan Juke (2024) – Sur la route : une mise à jour pas totalement concluante
La mécanique qui se niche sous le capot de ce Juke, et qui a été, rappelons-le, mise au point par Renault, est un mystère. Lors des premiers essais que nous avons pu effectuer la concernant, que ce soit sous le capot du Juke, mais aussi des Renault Clio ou Captur, elle nous avait enthousiasmés. Malheureusement, depuis quelques mois, c’est de moins en moins le cas. À croire que certains réglages ont été revus.
Ne maintenons pas le mystère plus longtemps : c’est effectivement le cas, comme en attestent les rejets de CO2, aujourd’hui plus bas de 3 à 4 g/km que lors du lancement de cette variante hybride. Pour y parvenir, les ingénieurs ont visiblement travaillé sur la transmission. Lors de cet essai, la boîte à crabots, une exclusivité en série sur cette motorisation, s’est révélée moine tonique et même parfois carrément hésitante, laissant apparaître quelques “trous” lors des accélérations. Précisons toutefois immédiatement que notre exemplaire d’essai manquait de rodage puisqu’il n’affichait que 650 km au compteur.
Le châssis et la direction du Juke restent joueurs, la mécanique nettement moins à cause des nouveaux réglages de boîte.
N’empêche que cette boite gâche un peu le plaisir de conduire ce Juke. D’autant que le couple moteur thermique/moteur électrique fonctionne, pour sa part, parfaitement. Pour en profiter pleinement, des palettes au volant permettant de changer les rapports de boîte auraient été les bienvenues. N’en déduisez pas pour autant que ce Juke est ennuyeux, voire désagréable, à conduire. Non, c’est juste qu’il se montre moins enjoué que par le passé.
Le châssis, pour sa part, ne semble pas avoir été touché par cette crise d’austérité. Avec son empattement plutôt court (2,64 m), sa direction directe et son train avant incisif, c’est un véritable plaisir que de le mener sur des routes escarpées. On en regrette d’autant plus que, avec ses 143 ch, une puissance certes plus qu’honorable pour cette catégorie, le Juke Hybrid est la variante la plus puissante de ce Nissan. Nous ne serions pas contre le retour d’une déclinaison Nismo.
Si les amateurs de conduite seront, quoi qu’il en soit, plutôt enjoués à l’idée de prendre le volant de ce nippon, les férus de confort seront, pour leur part, moins séduits. Ce ne sont pas les sièges qui sont à mettre en cause mais les réglages d’amortissement. Non seulement ceux-ci sont fermes mais, de surcroît, cette finition N-Sport reçoit d’office des jantes de 19″.
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3. Nissan Juke (2024) – Équipement : une montée en gamme claire
Comme c’est souvent le cas des véhicules d’origine asiatique, même si “nos” Juke sont assemblés en Grande Bretagne, Nissan a préféré décliner la gamme de son petit SUV en une multitude de finitions plutôt que de permettre de compléter la dotation de base avec de nombreuses options.
Ainsi, la variante hybride est compatible avec les cinq niveaux de finition inscrits au tarif. Contrairement aux millésimes précédents, le Juke 2024 fait néanmoins l’impasse sur la finition Visia en entrée de gamme. L’offre débute avec une Acenta à la dotation déjà solide puisque comprenant les feux de route adaptatifs, la caméra de recul, la climatisation automatique et la clé mains libres. Une version qui se monnaie 30 700 €. Une somme qui, dans l’absolu, reste élevée pour un petit SUV mais qui s’avère plutôt compétitive face à un Peugeot 2008 ou un Renault Captur pareillement doté. D’autant que, comme toutes les Nissan le Juke est couvert d’emblée par une garantie 3 ans/100 000 km.
Le second niveau, qui sera probablement le plus vendu en France, reprend également une appellation bien connue des clients de la marque : N-Connecta. Comme il est facile de l’imaginer avec un tel nom, la navigation fait ici son apparition, accompagnée du chargeur de smartphone à induction, des jantes alliage 17″, des vitres arrière surteintées et des essuie-glaces automatiques. Le tout contre un supplément de 2 200 €, ce qui porte l’addition à 32 900 €.
Habituellement réservée au haut de gamme, la griffe Tekna n’est ici “que” le 3e niveau de finition. La facture s’envole à 35 000 € tout rond, comme qui permet d’accéder au système de conduite autonome de niveau 2, aux roues de 19″, aux caméras 360° et au dispositif audio Bose. Rajoutez encore 650 € et la version N-Sport (peinture bi ton et présentation intérieure et extérieure spécifique, mais plus de conduite autonome, ni de caméras 360°) de notre essai sera à vous.
Enfin, la N-Design chapeaute l’offre en associant les dotations des Tekna et N-Sport, complétées d’une sellerie cuir/Alcantara/TEP, le tout pour 36 650 €.
Equipements et options
Version : II (2) 1.6 HYBRID 143 N-SPORT 2024
Esthétique / Carrosserie
-
Jantes alliage 17″ bi-ton
-
Sellerie Mixte TEP/Tissu Noir
-
Peinture métallisée
Options disponibles
-
Jantes alliage 19″ Aero
0 €
-
Peinture métallisée Gris Squale
650 €
-
Peinture métallisée Gris Perle
650 €
-
Peinture métallisée spéciale Gris Argile
200 €
-
Peinture métallisée spéciale Blanc Nacré
200 €
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4. Nissan Juke (2024) – La concurrence, le bilan global, tous les tarifs
La concurrence : pas si nombreuse
Si le segment des petits SUV compte désormais plus d’une vingtaine de membres, on peut quasiment compter ceux disposant d’une version hybride sur les doigts de la main. Ainsi, face au Juke Hybrid, on trouve les Honda HR-V (131 ch, à partir de 34 340 €), Hyundai Kona Hybrid (141 ch, à partir de 33 400 €), Lexus LBX (136 ch, à partir de 34 300 €), Mitsubishi ASX 1.6 MPI HEV (143 ch, à partir de 34 790 €), Renault Captur E-Tech (145 ch, à partir de 30 000 €), Suzuki Vitara 1.5 Dualjet Hybrid (115 ch, à partir de 29 190 €) et Toyota Yaris Cross (130 ch, à partir de 33 700 €).
A retenir : une revue de détails plus qu’une véritable évolution
En s’adjoignant les services de l’une des meilleures mécaniques hybrides, l’E-Tech Renault, le Juke avait déjà réussi à s’imposer comme un très bon choix dans sa catégorie. Le peu de modifications apporté à ce millésime 2024 ne change pas la donne. Nous aurions simplement aimé que cette deuxième partie de carrière débute avec un modèle qui reçoive un peu plus de modifications qu’une seule nouvelle planche de bord.
Caradisiac a aimé
-
-
Une mécanique hybride loin d’être apathique
-
La qualité de finition améliorée
-
Le rapport prix/équipement attractif
-
Le comportement routier, toujours incisif
-
Le nouveau système multimédia, plus lisible et largement modernisé
Caradisiac n’a pas aimé
-
Les nouveaux réglages de boite qui gâchent la bonne volonté des moteurs
-
Le confort, trop ferme sur les exemplaires équipés des jantes de 19’’
-
Les surfaces vitrées limitées, principalement aux places arrière
Les prix
Version | Co2 (en g/km) | Prix | Bonus / Malus |
---|---|---|---|
II (2) 1.6 HYBRID 143 ACENTA 2024 | 0 (wltp) | 30 700 € | 0 € |
II (2) 1.6 HYBRID 143 N-CONNECTA 2024 | 0 (wltp) | 32 900 € | 0 € |
II (2) 1.6 HYBRID 143 N-DESIGN 2024 | 0 (wltp) | 36 650 € | 0 € |
II (2) 1.6 HYBRID 143 N-SPORT 2024 | 0 (wltp) | 35 650 € | 0 € |
II (2) 1.6 HYBRID 143 TEKNA 2024 | 0 (wltp) | 35 000 € | 0 € |
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5. Nissan Juke (2024) – L’évaluation dans la catégorie : 37 critères analysés et notés
Le Nissan Juke Hybrid, 143 ch et à partir de 30 700 €, est évalué dans la catégorie des petits SUV hybrides qui comprend notamment
Le Hyundai Kona Hybrid, 141 ch et à partir de 33 400 €
Le Renault Captur E-Tech, 145 ch et à partir de 30 000 €
Le Toyota Yaris Cross 130h, 130 ch et à partir 33 700 €
Nissan Juke Hybrid N-Sport | ||
---|---|---|
Budget | 7.38 |
|
Coût d’achat | 8 | |
Bonus/malus | 9 | |
Consommation : données constructeur | 9 | |
Consommation : relevés Caradisiac | 8 | |
Courroie de distribution/chaîne | 8 | |
Cote attendue | 6 | |
Durée de la garantie | 5 | |
Fiabilité attendue/coût de réparations | 6 | |
Pratique | 5.78 |
|
Qualité de la finition | 8 | |
Rangements | 8 | |
Modularité | 5 | |
Coffre (volume, seuil, facilité de chargement) | 4 | |
Longueur maxi de chargement | 5 | |
Places AR : longueur aux jambes | 6 | |
Places AR : largeur aux coudes | 7 | |
Places AR : garde au toit | 6 | |
Plancher plat | 3 | |
Rapport prix/équipements | 7.33 |
|
Aides à la conduite | 8 | |
Conduite (liaisons au sol) | 7 | |
Confort | 6 | |
Multimédia | 8 | |
Style intérieur | 8 | |
Style extérieur | 7 | |
Sur la route | 7 |
|
Agrément moteur | 8 | |
Agrément boîte | 5 | |
Amortissement | 6 | |
Dynamisme | 7 | |
Emissions polluantes à l’usage | 8 | |
Insonorisation | 7 | |
Maniabilité | 8 | |
Performance | 7 | |
Position de conduite | 7 | |
Sécurité | 7 |
|
Crash-test (Euro Ncap) | 10 | |
Degré maximal d’autonomie | 4 | |
Freinage | 8 | |
Systèmes de sécurité | 8 | |
Visibilité périphérique | 5 | |
Note globale : | 13,8 /20 |
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6. Nissan Juke (2024) – La fiche technique
Les chiffres clés
Nissan Juke 2 II (2) 1.6 HYBRID 143 N-SPORT 2024 | |
---|---|
Généralités | |
Finition | N-SPORT 1 |
Date de commercialisation | 15/02/2024 1 |
Garantie pièce et main d’œuvre : en km | Kilométrage illimité |
Garantie pièces et main d’œuvre : en mois | 36 1 |
Dimensions | |
Longueur | 4,21 1 |
Largeur sans rétros | 1,80 1 |
Hauteur | 1,59 1 |
Empattement | 2,63 1 |
Volume de coffre mini | 354 1 |
Volume de coffre maxi | 1 237 1 |
Nombre de portes | 5 1 |
Nombre de places assises | 5 1 |
Poids à vide | 1 400 1 |
Caractéristiques moteur | |
Motorisation | Hybride essence électrique 1 |
Moteur | 4 cylindres , 16 soupapes + moteur électrique |
Cylindrée | 1 598 1 |
Puissance | 143 ch 1 |
Couple | 148 Nm à 3 600 trs/min |
Boîte de vitesses | Automatique 1 |
Nombre de rapports | 4 1 |
Roues motrices | AV 1 |
Performances / consommation | |
Vitesse maximum | 166 1 |
Accélération de 0 à 100 km/h | 10.1 1 |
Volume du réservoir | 46 1 |
Emissions de CO2 | 0 g/km (wltp) |
0 |
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