- Mécanique : des défaillances sur les premiers millésimes
- Électronique : (quasiment) rien à signaler
- Matériaux : quelques faiblesses
La Yaris rencontre un succès fou en France et en Europe !
Crédit photo : Toyota
Sa seconde génération a été commercialisée de 2005 à 2011.
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Elle a présenté des faiblesses mécaniques sur ses premiers millésimes, en 2005 et 2006.
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Certains plastiques se rayent facilement et des tissus peuvent se déchirer.
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Les blocs VVTi ont rencontré des problèmes de pompe à eau sur les premiers millésimes.
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Certains bugs électroniques ont été remontés, concernant les voyants d’ABS et d’ESP.
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Star des citadines en Europe au côté des Françaises, la Toyota Yaris s’est fait un nom grâce à sa bouille sympathique et ses nombreuses déclinaisons hybrides. Assemblée en France, elle est actuellement dans sa quatrième génération. C’est une petite voiture économique et confortable, disponible aussi bien en diesel, qu’en essence. Voici un petit tour d’horizon des fragilités qu’elle peut présenter, et des petits soucis qu’elle peut rencontrer.
Mécanique : des défaillances sur les premiers millésimes
- En diesel, les blocs de début de carrière en 2005 et 2006 peuvent montrer parfois des pertes de puissance. À cause de soucis d’injecteurs à remplacer (450€/pièce), qui ont été fiabilisés à partir de 2007. Depuis, aucune défaillance de la sorte n’a été observée. L’intercooler/échangeur a montré sur le 1.4 D4D (90 chevaux) assemblés de 2008 à 2014 des soucis d’étanchéité, qui peuvent donner lieu à des entrées d’huile dans ce dernier, lequel avait fait l’objet d’une campagne de rappel.
- En essence, là aussi les blocs des millésimes 2005 et 2006 ont présenté des problèmes. Notamment concernant la pompe à eau qui était à remplacer (550€). Un problème constaté surtout sur les blocs 1.3 VVTi (87 et 100 chevaux).
- Concernant la boîte de vitesses, certains exemplaires de début de carrière ont souffert de rapports passant mal. Forçant à son remplacement complet (jusqu’à 4 000€ neuve à l’époque). Des soucis de démarreur HS ont été signalés sur les premières versions.
Électronique : (quasiment) rien à signaler
Aucune anomalie récurrente n’a été signalée concernant les équipements de confort et de sécurité. Seuls les voyants de l’ESP ou de l’ABS peuvent apparaître inopinément. À cause de capteurs fragiles ou pouvant souffrir de corrosion.
Matériaux : quelques faiblesses
Dans l’habitacle, les plastiques sont fragiles et sensibles aux rayures. Alors que les tissus, très fins, peuvent souffrir de déchirures après plusieurs années. Avec les années, les ressorts de glissières des sièges peuvent faiblir et provoquer un avancement important en cas d’accident.
À l’extérieur, la peinture peut après plusieurs années s’écailler anormalement. Notamment après des projections fines comme des gravillons ou des branchages. Les pneus souffrent sur leur monte d’origine d’usure anormalement rapide. Un changement des pneus de série peut être gage de tranquillité à ce niveau-là.