La troisième MX-5 de la course est équipée d'un moteur plus puissant de 2,5 litres avec un boîtier papillon indépendant.
La Mazda MX-5 est peut-être la voiture idéale, mais il arrive que l’on veuille un peu plus de puissance. L’induction forcée est l’un des moyens d’y parvenir, et une nouvelle vidéo de Drag race montre comment ces différentes améliorations peuvent affecter les performances en ligne droite de la MX-5 de troisième génération.
Le compresseur de suralimentation domine le 400 mètres
Le roadster Mazda équipé de la suralimentation de phase 1 développe 248 ch et 289 Nm de couple. Le roadster le plus puissant est le roadster turbocompressé, avec 262 ch et 306 Nm de couple. L’autre MX-5 est équipée d’un moteur de 2,5 litres plus puissant, avec des arbres à cames améliorés et un boîtier papillon indépendant. Il développe 240 ch et 285 Nm de couple. BRR a mis au point les trois voitures, qui ont bénéficié d’une série d’améliorations au niveau de la suspension et des freins.
La MX-5 suralimentée a effectué le 400 mètres le plus rapidement. Elle a terminé en 13,7 secondes. Le roadster turbocompressé a terminé en 14,5 secondes et la MX-5 équipée de boîtier papillon indépendant s’est classée troisième avec un temps de 14,9 secondes. La voiture de série a réalisé un temps de 16,2 secondes.
Le turbocompresseur meilleur sur le 800 mètres
Mazda a proposé la troisième génération de MX-5 NC de 2005 à 2015. Le constructeur a récemment mis à jour la ND de quatrième génération au Japon, en dotant le roadster de nouveaux feux, d’un différentiel à glissement limité et d’un nouvel écran d’infodivertissement. La MX-5 NC ne devrait pas quitter la gamme de Mazda de sitôt, car le constructeur a promis qu’elle “ne mourra jamais”. Mais elle sera probablement électrique.