Mais d'abord, une berline sera dévoilée en fin d'année.
Avec Geely, Lotus s’est réinventé puisqu’il ne s’agit plus d’un constructeur automobile de niche. L’époque où Norfolk ne vendait que des voitures de sport est révolue, car l’Emira, le dernier modèle thermique de la marque, est disponible aux côtés de deux modèles électriques : l’hypercar Evija et le SUV Eletre. Une berline les rejoindra d’ici la fin de l’année.
Interrogé sur les perspectives d’un break ou d’un break de chasse, Mike Johnstone a déclaré : “Les goûts des consommateurs changent, de nouveaux segments de marché apparaissent et de nouvelles technologies entrent en jeu, ce qui signifie que nous pourrions faire les choses différemment.”
Porsche : une inspiration ?
Cependant, il a souligné que l’objectif immédiat était de mettre sur le marché la berline, le multisegment compact et le trio de véhicules électriques sportifs. Johnstone a laissé entendre que l’avenir pourrait apporter une expansion de la gamme au-delà du portefeuille prévu de six voitures.
Il semblerait que Lotus veuille reproduire le succès de Porsche en passant d’une marque de voitures de sport à un constructeur automobile complet proposant des SUV, une berline et peut-être même une familiale à un moment donné.
Les passionnés ne seront peut-être pas ravis, mais cette stratégie commerciale a permis au constructeur Zuffenhausen de financer le développement des gammes 718 et 911 avec l’argent obtenu grâce aux Cayenne et Macan produits grand volume.
Les puristes pourraient se moquer de l’idée d’un modèle haut de gamme, mais dans ce secteur, vous ne pouvez pas vous attendre à survivre simplement en vendant des voitures de sport.
Galerie: Lotus Type 133 Envya
Source: Autocar
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