Essai – DS 3 1.2 PureTech 130 ch (2023) : évolutions (in)visibles

Plus de 4 années après sa commercialisation, le petit SUV de DS Automobiles passe par la case restylage. Il en profite, comme son grand frère, le DS 7, pour perdre l’appellation Crossback et devenir simplement DS 3. Au-delà de ce changement sémantique, les évolutions sont bien présentes, mais seuls les regards les plus avisés parviendront à les détecter. Surtout dans cette version, appelée à être la plus vendue de la gamme.

1. Essai – DS 3 1.2 PureTech 130 ch (2023) : évolutions (in)visibles

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Note

de la rédaction

13,1/20

EN BREF

SUV  urbain

Version restylée

À partir de 33 100 €

Successeur, du moins selon les désirs de DS Automobiles, de la première DS 3, une citadine 3 portes qui a fait un carton dans la plupart des pays d’Europe, le DS 3 Crossback a connu un début de carrière plutôt terne. Il n’a, ainsi, jamais réussi à prendre le dessus, commercialement parlant, sur le DS 7 Crossback, pourtant beaucoup plus cher. Ce manque d’intérêt pourrait, à lui seul, justifier que le constructeur français opte pour un restylage a minima.

C’est du moins ce que laisse croire la première rencontre avec celui qu’il faut désormais appeler DS 3 “tout court”. Pourtant, en observant, de très près, ce concurrent des Audi Q2 et Mini Countryman, il s’avère que les changements sont assez nombreux.

Sous le capot, en revanche, les évolutions sont, pour le moment, limitées. Hormis la version 100 % électrique E-Tense, que nous avons déjà essayée, les autres mécaniques sont inchangées. On retrouve ainsi le 1.5 BlueHDi 120 ch ainsi que deux déclinaisons du trois cylindres 1.2 PureTech, développant 100 ch et 130 ch. C’est cette dernière, forcément couplé à la boîte automatique à 8 rapports, que nous essayons aujourd’hui.

Les plus observateurs auront remarqué que la gamme est plus réduite que par le passé. En effet, les 1.2 PureTech 155 ch et 1.5 BlueHDi 110 ch, peu demandés, n’ont pas été reconduits. Dans le même esprit, la finition d’entrée de gamme Montmartre a été abandonnée. L’offre s’articule donc désormais autour de la Bastille, ainsi que des dynamiques Performance Line et Performance Line+, tandis que le haut de gamme est représenté par les Rivoli et Opéra.

Un style en évolution douce

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Hormis les projecteurs, toute la face avant a été redessinée… mais cela ne se remarque pas au premier coup d’œil.

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Le nom DS Automobiles apparaît désormais sur la poupe, en lettres d’inox insérées sur la baguette reliant les feux.

Sur le plan esthétique, les designers se sont principalement concentrés sur la proue. Si les projecteurs, qui sont désormais 100 % LED sur toute la gamme, conservent les mêmes contours, ceci afin de ne pas avoir à redessiner le capot, tous les autres composants changent. La calandre s’élargit et provoque la disparition des DS Wings, ces deux ailettes chromées qui soulignaient les phares. La partie inférieure du bouclier est également inédite et se veut plus sportive. Enfin, les feux de jour ont été modifiés et singent désormais ceux de la récente DS 7. Sans toutefois avoir recours à leur élégante, mais coûteuse, technologie d’éclairage.

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Avec 4,11 m de long, le DS 3 est l’un des modèles les plus courts de son segment. Un atout pour le stationnement en ville.

Sur la poupe, les modifications sont beaucoup plus limitées. On note simplement l’apparition du nom DS Automobiles dans la baguette reliant les feux, tandis que, sur la finition Performance Line, les deux sorties d’échappement sont désormais regroupées sur la droite. Auparavant, elle était placée de part et d’autre du feu antibrouillard.

Quant à l’habitacle, hormis de nouvelles selleries, il ne reçoit qu’une nouvelle répartition de certaines des commandes implantées sur la console centrale et un nouvel écran tactile, plus grand et à la définition améliorée.

Compact, mais sans doute un peu trop

À ce stade d’une carrière, il n’est, évidemment, pas question de revoir en profondeur la structure d’une auto. Les dimensions du DS 3 n’évoluent donc pas. L’un des principaux points noirs de ce SUV, à savoir une habitabilité limitée aux places arrière, reste donc d’actualité. Tout aussi ennuyeux, les portes postérieures sont étroites et leur angle d’ouverture limité, ce qui obligera les adultes à quelques contorsions lorsqu’il s’agira de s’installer sur la banquette. C’est d’autant plus regrettable que celle-ci s’avère, ce qui est plutôt rare à ce niveau de gamme, confortable.

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Les places arrière ne sont pas seulement étriquées, leur accès est également rendu compliqué par les petites portes à l’angle d’ouverture limité.

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La malle ne peut accueillir que 350 l de bagages. Une fois rabattue, la banquette forme une marche avec le plancher du coffre.

Aux places avant, ces problèmes de manque d’espace ne sont pas d’actualité. Même la garde au toit est généreuse. L’imposante console centrale, qui arbore toujours des places en métal à la finition très soignée, donne toutefois une légère sensation d’engoncement, ce qui participe à donner, au cockpit, une impression de sportivité. La qualité d’ensemble est relevée, notamment sur les finitions haut de gamme où la planche de bord reçoit un très large insert en Alcantara ou en cuir. Des matériaux que l’on retrouve sur la sellerie, sauf sur la version Bastille, qui fait appel à du tissu.

Face au conducteur, on retrouve toujours le combiné d’instrumentations numérique. Ses dimensions compactes et la multitude d’informations qu’il présente rendent sa lecture un peu difficile. Mais il est possible, en série sur Opéra et contre 400 à 1 100 € sur les autres versions, de disposer d’un affichage tête haute très lisible. Quant au nouveau système multimédia, baptisé DS Iris System, il profite d’une dalle d’excellente définition, bien placée dans le champ de vision du conducteur. Seul son système de menu et sous-menus est un peu confus, ce qui perturbe son utilisation lorsque l’on roule.

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L’ergonomie générale a été légèrement améliorée grâce à la redisposition de certaines commandes.

Si les occupants du DS 3 sont assez choyés, ce n’est pas le cas de leurs bagages. D’abord parce que ceux-ci devront être peu nombreux, la malle n’acceptant pas plus de 350 l. Lorsque l’on rabat la banquette, les choses ne s’améliorent guère. Avec un volume maximal de 1 050 l, ce compartiment est l’un des moins généreux du marché. De plus, il n’est pas possible d’obtenir un plancher plat. Enfin, le seuil de chargement est assez haut perché. Si votre activité dominicale favorite consiste à courir les brocantes, le DS 3 n’est pas le SUV qu’il vous faut.

Un moteur agréable

Sous le capot de notre DS 3, nous retrouvons une vieille connaissance : le 1.2 PureTech turbocompressé dans sa déclinaison de 130 ch. Aucune retouche ne lui a été apportée puisque même sa valeur de couple, 270 Nm obtenus à 1 750 tr/mn, est identique. Un choix parfaitement logique puisque, sous cette forme, ce bloc est en sursis. En effet, d’ici à la fin de l’année, ce 3 cylindres évoluera en profondeur avec l’apparition d’un dispositif d’hybridation légère et le remplacement de sa courroie de distribution par une chaîne.

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Mécaniquement, cette version 1.2 PureTech 130 ch ne reçoit aucune modification. Celles-ci arriveront en fin d’année avec l’arrivée de l’hybridation légère et d’une chaîne de distribution.

Cette “vétusté” en fait-elle pour autant un mauvais choix ? Absolument pas car ce bloc fait preuve d’une bonne volonté lorsqu’il est sollicité. Il ne craint pas de monter dans les tours, ce qui facilite grandement les reprises et les accélérations. Des exercices dans lesquelles il hausse un peu trop la voix. Mais, à vitesse stabilisée, le niveau sonore est très acceptable, preuve que le travail d’insonorisation a été soigné.

Toujours couplé à la boîte automatique à 8 rapports, le PureTech fait toutefois preuve d’à-coups à très bas régime. C’est particulièrement notable lorsque, par exemple, on réduit fortement la vitesse à l’approche d’un cédez le passage. La combinaison du passage du 2 au 1 rapport et l’enclenchement du Stop&Start produisent alors un hoquet plus désagréable qu’inquiétant. En dehors de cas de figure, la chaîne de traction se montre souple. On se prend donc à adopter un style de conduite très coulé, fort profitable à la consommation. Durant notre essai, la moyenne s’est établie aux environs de 6 l/100 km. Toutefois, lorsque l’on cravache ce DS3, il faudra plutôt tabler sur 8 à 9 l/100 km.

Bien que notre véhicule d’essai fût paré de la finition Performance Line, le confort était du meilleur niveau possible à ce niveau de gamme. Les suspensions se révèlent moelleuses, surtout lorsqu’elles sont, comme ici, combinées aux “petites” jantes de 17″ habillés de pneumatiques à flancs hauts. Une combinaison qui absorbe parfaitement les déformations de la route à allure soutenue, moins à vitesse réduite. Les passages de ralentisseurs se concluent, ainsi, par de fortes secousses dans l’habitacle.

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La mécanique ne manque pas de peps. Et elle se marie parfaitement avec le châssis, plutôt affûté.

En optant pour les jantes de série, le DS 3 favorise donc le confort avant tout. Mais les pneus de 17″ lui font perdre en mordant. Dans les enchaînements de virages, la voiture donne l’impression de s’écraser sur ses gommes alors que le train avant, qui ne manque pas de mordant, ne désire rien d’autre que de relayer parfaitement les injonctions que le conducteur lui fait parvenir au travers de la direction, ferme juste ce qu’il faut. Il faudra composer avec ce trait de caractère, aucune surmonte pneumatique n’étant proposée en option… ou dépenser 1 900 € supplémentaires en passant à la finition Performance Line+, chaussées de jantes de 18″ et de pneus taille basse d’origine.

Chiffres clés *

  • Longueur : 4,11 m
  • Largeur : 1,98 m
  • Hauteur : 1,53 m
  • Nombre de places : 5 places
  • Volume du coffre : 350 l / 1 050 l
  • Boite de vitesse : Auto. à 8 rapports
  • Carburant : Essence
  • Taux d’émission de CO2 : NC
  • Malus : NC
  • Date de commercialisation du modèle : Janvier 2023

* pour la version 1.2 PURETECH 130 PERFORMANCE LINE BVA.

Le bonus / malus affiché est celui en vigueur au moment de la publication de l’article.

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    2. DS 3 1.2 PureTech 130 ch (2023) – Équipement : le nécessaire et une touche de superflu

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    Si le DS 3 affiche, comme tout véhicule premium digne de ce nom, des tarifs élevés, il ne manque pas d’offrir une dotation d’origine assez riche. Tout comme la variante E-Tense, le 1.2 PureTech 130 ch est disponible avec les 5 niveaux de finition qui composent la gamme.

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    La définition d’image de la tablette tactile est en nette progression. Mais la caméra de recul fonctionne toujours assez mal, ce qui peut compliquer les manœuvres.

    Dès la première version Bastille, le radar de recul, la climatisation automatique, le démarrage sans clé, les jantes alliage de 17″ et l’écran tactile de 10,3″ répondent présent. La finition Performance Line, photographié ici, y ajoute, pour seulement 500 € de plus, l’ouverture mains libres, l’accoudoir central avant, le GPS et la sellerie Alcantara. Le rapport prix/équipement est donc très intéressant au regard de ce que proposent les Audi Q2 et Mini Countryman.

    Quant aux amateurs de grand luxe, ils seront ravis avec la nouvelle finition Opéra, forte des caméras 360°, du DS Drive Assist, de l’affichage tête haute, des sièges avant chauffants et massants et d’un habillage en cuir Nappa, malheureusement forcément noir.

    Étrangement, le DS 3 manque, en comparaison du DS 3 Crossback de gaîté. Les intérieurs ne laissent le choix qu’entre gris foncé et noir, tandis que la palette de teintes extérieures ne propose, hormis le nouveau rouge Diva, que des variantes de blanc, de noir et de gris.

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    Sur les finitions Performance Line et Performance Line+, l’Alcantara n’habille pas uniquement les sièges. Il recouvre également une large partie de la planche de bord.

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    Toutes les versions reçoivent un démarrage sans clé. Sa commande est dotée d’un éclairage qui imite les battements du cœur.

    Parmi les suppléments intéressants, on note les projecteurs matriciels (à partir de 800 €), le chargeur de smartphone à induction (200 €, en série sur Opéra) et l’excellent système Hi-Fi Focal Electra (900 €). Malgré la présence, au catalogue, de trois teintes de pavillon et de six modèles de jantes, les possibilités de personnalisation sont assez limitées.

    Equipements et options

    Version : 1.2 PURETECH 130 PERFORMANCE LINE BVA

    Options disponibles

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        3. DS 3 1.2 PureTech 130 ch (2023) – La concurrence, le bilan global, tous les prix

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        La concurrence : rare

        Le segment des petits SUV est assez peu couru par les marques premium. Seuls Audi et Mini, avec les Q2 et Countryman, y prennent place aux côtés de DS Automobiles. Plus récemment, Smart l’a également investi avec le #1, mais celui-ci n’est disponible qu’en version 100 % électrique. Face à notre DS 3, on ne trouve donc que les Audi Q2 35 TFSI 150 ch S-Tronic et les Mini Countryman Cooper Auto. La multitude de modèles généralistes peut difficilement être comparée à notre SUV. En effet, DS a fait le choix d’une présentation beaucoup plus raffinée que ce que proposent les Peugeot 2008, Renault Captur et autres Volkswagen T-Cross.

        Face à ses deux concurrents directs, le DS 3 pêche par des technologies parfois moins avancées et une habitabilité restreinte. Il peut, en revanche, compter sur sa présentation haut de gamme et très personnelle pour séduire les amateurs d’élégance à la française.

         À retenir : une offre alternative

        Les mauvaises langues diront que le DS 3 est (cochez la mention inutile) un Opel Mokka/Peugeot 2008 rhabillé. Sur le plan technique, c’est une réalité. Mais le groupe Stellantis n’est pas le seul à procéder de cette façon. Pour se démarquer, ce SUV premium peut compter sur sa présentation digne des catégories supérieures. A contrario, ses petites places arrière et son coffre peu généreux le desservent largement.

        Mécaniquement, bien qu’elle soit en fin de carrière, cette déclinaison du 1.2 PureTech mérite toujours le détour. Vive et silencieuse hors des phases d’accélération, elle reste l’un des atouts de ce modèle. Si vous ne voulez pas patienter jusqu’à l’arrivée de la version MHEV, vous pouvez ainsi signer sans crainte pour cette motorisation, dont les problèmes de fiabilité semblent avoir été résolus.

        Reste la question du prix. Élevés dans l’absolu, ils vont de pair avec une dotation complète. Sur ce point, le DS 3 supplante donc largement les Audi Q2 et Mini Countryman. Malheureusement, lors de la revente, il ne peut pas compter sur une cote d’amour, et donc des prix de revente, aussi élevés que ces deux derniers.

        Caradisiac a aimé

        • La présentation raffinée et plus chaleureuse que la concurrence
        • Le moteur pétillant
        • La suspension, très tolérante au-delà de 30 km/h

        Caradisiac n’a pas aimé

        • L’espace aux places arrière trop limité
        • Le coffre inadapté aux départs en vacances
        • L’accès difficile à la banquette
        • Un moteur bientôt remplacé

        Les chiffres clés

        Ds Ds 3 (2e Generation) 1.2 PURETECH 130 PERFORMANCE LINE BVA
        Généralités  
        Finition PERFORMANCE LINE
        Date de commercialisation 06/01/2023
        Garantie pièce et main d’œuvre : en km Kilométrage illimité
        Garantie pièces et main d’œuvre : en mois 24 mois
        Dimensions  
        Longueur 4,11 m
        Largeur sans rétros 1,98 m
        Hauteur 1,53 m
        Empattement 2,55 m
        Volume de coffre mini 350 L
        Volume de coffre maxi 1 050 L
        Nombre de portes 5
        Nombre de places assises 5
        Poids à vide 1 249 Kg
        Caractéristiques moteur  
        Motorisation Essence
        Puissance fiscale 7 CV
        Moteur NC
        Cylindrée 1 199 cm3
        Puissance 130 ch à 5 500 trs/min
        Couple 230 Nm à 1 750 trs/min
        Boîte de vitesses Automatique
        Nombre de rapports 8
        Roues motrices AV
        Performances / consommation  
        Vitesse maximum 201 km/h
        Accélération de 0 à 100 km/h 9.6 s
        Consommation mixte 6.3 Litre / 100 km

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          4. DS 3 1.2 PureTech 130 ch (2023) – L’évaluation dans la catégorie : 37 critères analysés et notés

          ds 3 (2e generation), ds 3, essai – ds 3 1.2 puretech 130 ch (2023) : évolutions (in)visibles

          Le DS 3 1.2 PureTech Auto. (130 ch, de 33 100 € à 40 200 €) est évalué dans la catégorie des petits SUV essence à boîte auto d’environ 140 ch, qui comprend notamment :

          L’Audi Q2 35 TFSI S-Tronic : 150 ch, de 36 220 € à 42 520 €

          Le Mini Countryman Cooper Auto. : 136 ch, de 38 800 € à 43 400 €

          DS 3 1.2 PureTech 130 ch Performance Line Auto.
          Budget 6.13

           

          Coût d’achat 6
          Bonus/malus 8
          Consommation : données constructeur 8
          Consommation : relevés Caradisiac 6
          Courroie de distribution/chaîne 6
          Cote attendue 5
          Durée de la garantie 4
          Fiabilité attendue/coût de réparations 6
          Pratique 6.11

           

          Qualité de la finition 8
          Rangements 7
          Modularité 7
          Coffre (volume, seuil, facilité de chargement) 5
          Longueur maxi de chargement 6
          Places AR : longueur aux jambes 6
          Places AR : largeur aux coudes 7
          Places AR : garde au toit 6
          Plancher plat 3
          Rapport prix/équipements 7.33

           

          Aides à la conduite 8
          Conduite (liaisons au sol) 8
          Confort 7
          Multimédia 7
          Style intérieur 7
          Style extérieur 7
          Sur la route 6.89

           

          Agrément moteur 6
          Agrément boîte 7
          Amortissement 8
          Dynamisme 7
          Emissions polluantes à l’usage 7
          Insonorisation 7
          Maniabilité 7
          Performance 6
          Position de conduite 7
          Sécurité 6.2

           

          Crash-test (Euro Ncap) 10
          Degré maximal d’autonomie 2
          Freinage 6
          Systèmes de sécurité 8
          Visibilité périphérique 5
          Note globale : 13,1 /20

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            5. DS 3 1.2 Puretech 130 ch (2023) – Les principales caractéristiques techniques

            ds 3 (2e generation), ds 3, essai – ds 3 1.2 puretech 130 ch (2023) : évolutions (in)visibles

            Les chiffres clés

            Ds Ds 3 (2e Generation) 1.2 PURETECH 130 PERFORMANCE LINE BVA
            Généralités  
            Finition PERFORMANCE LINE
            Date de commercialisation 06/01/2023
            Garantie pièce et main d’œuvre : en km Kilométrage illimité
            Garantie pièces et main d’œuvre : en mois 24 mois
            Dimensions  
            Longueur 4,11 m
            Largeur sans rétros 1,98 m
            Hauteur 1,53 m
            Empattement 2,55 m
            Volume de coffre mini 350 L
            Volume de coffre maxi 1 050 L
            Nombre de portes 5
            Nombre de places assises 5
            Poids à vide 1 249 Kg
            Caractéristiques moteur  
            Motorisation Essence
            Puissance fiscale 7 CV
            Moteur NC
            Cylindrée 1 199 cm3
            Puissance 130 ch à 5 500 trs/min
            Couple 230 Nm à 1 750 trs/min
            Boîte de vitesses Automatique
            Nombre de rapports 8
            Roues motrices AV
            Performances / consommation  
            Vitesse maximum 201 km/h
            Accélération de 0 à 100 km/h 9.6 s
            Consommation mixte 6.3 Litre / 100 km

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