Les amoureux du bolide américain sont aux anges, leur banquier un peu moins
Auto – Les amoureux du bolide américain sont aux anges, leur banquier un peu moins
Déjà lancée (et déjà très populaire) sur ses terres d’origine depuis quelques mois, elle ouvre ses carnets de commande pour l’Europe. Plusieurs versions sont proposées, mais toutes ont un point commun : un V8 5.0 litres. Le choix consiste donc dans la variante de carrosserie coupé ou cabrio, et dans le fait d’associer au V8 une boîte manuelle 6, ou automatique 10 rapports. Dans les deux cas, le V8 revendique 446 ch, Sauf dans l’ultime possibilité.
Dark Horse
Dans la Mustang Dark Horse, uniquement disponible en coupé, la puissance est portée à 453 ch. Ici aussi, on peut choisir la boîte auto 10, ou une manuelle 6 Tremec (boîte hautes performances, déjà présente sur l’ancienne Mustang Mach 1), dotée de la fonction « Flat Shift » qui permet de changer de rapport, sans relâcher l’accélérateur.
La Dark Horse reçoit aussi en série en différentiel arrière à glissement limité, et du frein de parking électronique « Performance », avec une fonction manuelle pour les séances de drift. Voilà pour ce qui constitue, à notre avis, l’essentiel de la nouvelle Mustang, en plus évidemment d’un look plus affûté, d’un intérieur totalement revu et équipé d’un tableau de bord numérique configurable, etc. Les prix vont de 59.300€ pour une Mustang GT Coupé manuelle, à 74.300 € pour une Mustang Dark Horse automatique.
Le problème est que ce sont des prix avant le malus imposé en France de 60.000€. Malgré tout, la Mustang a peut-être un coup à jouer, puisque même avec le malus, elle reste moins chère qu’une BMW M2 ou M4. Mieux, à puissance pratiquement égale, elle revient au même prix qu’une Porsche 911 S… avant malus. Pourrait-elle gratter quelques clients de ce côté-là ?
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