- Abarth, Alpine, Cupra, Mini et Volkswagen : le club des 5 !
- Une 208 PSE en sursis ?
- Peugeot 508 PSE : celle qui eut l’échappée belle
Peugeot aurait-elle trop limé ses crocs ? Plus aucune sportive à se mettre sous la dent du Lion quand une “R5” Alpinisée est sur sa rampe de lancement. Tout espoir est-il perdu pour autant ?
Abarth, Alpine, Cupra, Mini et Volkswagen : le club des 5 !
Le prototype Alpine A290_β préfigure l’A290 qui arrivera en concession courant 2024..© François Lemaur
Dommage quand, outre la petite Alpine précitée, l’Abarth 500e (lire notre essai) vient tout juste de réussir sa mutation sur prise et, en embuscade, Mini affûte déjà la nouvelle mouture sportive de sa citadine emblématique. De son côté, le groupe Volkswagen promet déjà une ID.2 GTI et une Cupra Raval toutes deux musclées. Cela ne fait aucun doute, il y a bel et bien une clientèle intéressée par ce type d’engin !
Une 208 PSE en sursis ?
Tout espoir n’est pas définitivement perdu pour autant chez Peugeot, mais il faudra faire preuve de patience. En effet la troisième mouture de la 208, attendue à l’horizon 2026 disposera, en théorie, de tous les ingrédients nécessaires. A commencer par la plateforme technique STLA Small du groupe Stellantis modifiée pour pouvoir (enfin !) concilier l’emport de suffisamment de batteries pour garantir une autonomie qui ne fonde pas comme neige au soleil et offrir un volume de coffre qui ne soit pas réduit à peau de chagrin. Après le saut d’une génération et le passage au 100 % électrique, les afficionados de Peugeot seront-ils toujours au rendez-vous ? Rien n’est moins certain. Pour autant, les équipes du lion ont toujours su concevoir des bolides attachants, il suffit qu’en haut lieu on leur en donne la possibilité.
Peugeot 508 PSE : celle qui eut l’échappée belle
La Peugeot 508 PSE cumule 360 ch.© Alex Krassovsky
Sa grande sœur Peugeot 508 PSE, véhicule davantage d’image que sportif a quand à elle eut le feu vert, mais de justesse, avant que la stratégie de la marque ne verse dans une priorité donné à l’électrification “sans excès” de la marque. En témoigne les prochaines Peugeot e-308 berline et e-308 SW qui se limiteront à un “minimum syndical” de 156 ch. On est là encore bien loin d’une 308 GTi qui totalisa 270 équidés. Certes figure au catalogue un 308 hybride rechargeable qui distille davantage, à savoir 300 ch, et bénéficie de quatre roues motrices, mais l’on ne peut décemment le qualifier de SUV en survêtement à l’image d’un Audi RSQ3 ou d’un Cupra Tavascan.