Apprécié pour son style aguicheur et son avantageux rapport prix/équipement, le Hyundai Tucson ne connaît pas la crise. Un adversaire de taille pour le nouveau Renault Austral, notamment en version hybride.
- RENAULT Austral 1.2 E-Tech full hybrid 200 Iconic Esprit Alpine
- HYUNDAI Tucson 1.6 T-GDi Hybrid N Line Executive
- Prix Renault Austral et Hyundai Tucson
- À conduire
- À vivre
- Notre choix : Hyundai Tucson
- Renault Austral
- Hyundai Tucson
- Fiche technique
- Équipements de série en commun
- Équipements différenciants et options
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Figurant parmi les best-sellers de la catégorie, le Hyundai Tucson hybride trouve désormais sur son chemin le Renault Austral E-Tech. Beau duel en perspective !
Clément Choulot
RENAULT Austral 1.2 E-Tech full hybrid 200 Iconic Esprit Alpine
- – Moteur : Hybride
- – Puissance: 200 ch
- – Lancement : Décembre 2022
- – A partir de 44 900 €
- – Ni bonus ni malus
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HYUNDAI Tucson 1.6 T-GDi Hybrid N Line Executive
- – Moteur : Hybride
- – Puissance: 230 ch
- – Lancement : Janvier 2021
- – A partir de 46 550 €
- – 150 € de malus.
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Le Koleos (2007) comme le Kadjar (2015) ne nous laisseront pas de souvenirs impérissables… Aussi ennuyeux à conduire qu’à vivre et à contempler, les deux premiers SUV compacts de Renault n’ont fait qu’évoluer, tout au long de leurs carrières respectives, dans l’ombre de concurrents ayant fait de l’audace et du dynamisme leur marque de fabrique. Une époque désormais révolue, le nouveau Renault Austral misant cette fois sur un design plus expressif, une finition « tip top » et un contenu technologique dernier cri. À commencer par une inédite motorisation hybride non rechargeable de 200 ch, véritable pierre dans le jardin des Toyota RAV4, Ford Kuga, Kia Sportage et autre Hyundai Tucson, pour ne citer que ses rivaux proposant également une variante à pile « sans prise ».
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Ces deux SUV présentent un gabarit (4,51 m) et une habitabilité similaires. Seuls 450 € les séparent en finition haut de gamme.
Clément Choulot
Outre son design à dévisser les têtes, le Hyundai Tucson est aussi le plus vendu des SUV compacts full hybrid sur notre marché. Un adversaire de taille donc pour le français, qui va devoir se retrousser les manches s’il veut désarçonner le sud-coréen, à peine plus cher mais crédité de 30 ch supplémentaires dans cette définition 1.6 T-GDi Hybrid. Même si nos premiers essais et comparatifs au volant de l’Austral E-Tech nous ont permis de découvrir un SUV d’une remarquable homogénéité, la partie n’est pas gagnée d’avance…
Prix Renault Austral et Hyundai Tucson
Notre Austral E-Tech de 200 ch, habillé de la très chic finition Iconic Esprit Alpine, voit son prix culminer à 44 900 €. À titre de comparaison, le plus onéreux des Kadjar dépassait à peine les 38 000 € en fin de carrière. Mais la nouveauté est d’un tout autre acabit, qu’il s’agisse de sa puissante motorisation hybride, fatalement plus coûteuse, ou de sa dotation de série, d’un niveau bien supérieur. Au sujet des aides à la conduite en particulier, c’est un véritable festival que nous propose Renault puisque son dernier-né comprend régulateur de vitesse adaptatif Stop & Go, maintien au centre de la voie, détecteurs d’angles morts (y compris lors des manœuvres en marche arrière, avec fonction freinage), caméra à vision 360°, lecture des panneaux et phares à LED adaptatifs (basculement automatique des feux de croisement/feux de route).
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Le Renault Austral 1.2 E-Tech Full Hybrid Iconic Esprit Alpine est facturé 44 900 € et n'est soumis à aucun malus. Premières livraisons en décembre 2022.
Clément Choulot
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Le Hyundai Tucson 1.6 T-GDi Hybrid N-Line Executive de 230 ch est facturé 45 350 €, et son malus est de 150 €. Il est disponible depuis 2021.
Clément Choulot
On se délecte surtout de son formidable système de navigation Google Maps, sans équivalent en termes de réactivité, de lisibilité et d’accessibilité. Celui-ci se pilote au moyen d’un écran tactile vertical de 12,3 pouces (31 cm) à rendre jaloux les propriétaires de Tesla, qui n’ont désormais plus l’exclusivité des tablettes géantes. Bien plus modeste, mais aussi moins évident à utiliser, le système du Tucson fait pâle figure en comparaison. Heureusement, ce dernier a bien d’autres atouts dans sa manche. Car, non content de proposer les mêmes aides à la conduite que le français, le SUV coréen accueille en prime des caméras pour surveiller les angles morts et une touche sur la télécommande permettant de déplacer votre véhicule sur une place de stationnement lorsqu’un mur ou une voiture garée d’un peu trop près vous empêche d’en descendre ou de monter à bord. Pratique !
Le Tucson hybride N-Line Executive est affiché au tarif de 45 350 € (soit seulement 450 € de plus que son rival du jour), et il place également haut la barre sur la question des équipements d’agrément. Hayon motorisé, instrumentation numérique, clé mains libres, sellerie en partie cousue d’Alcantara, sièges électriques et volant chauffants… figurent dans sa dotation de série, comme l’Austral jusque-là. Sauf que le coréen y ajoute une climatisation, des sièges chauffants et des stores pare-soleil à disposition des passagers arrière, des sièges ventilés à l’avant, ainsi qu’une installation audio premium signée Krell (850 € pour disposer du système Harman Kardon dans l’Austral).
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Parmi les rares options de la finition Iconic Esprit Alpine figure le toit panoramique. Facturé 800 €, il est malheureusement fixe.
Clément Choulot
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Facturé 990 €, le toit en verre du Hyundai Tucson s’ouvre pour profiter du soleil aux beaux jours.
Clément Choulot
Enfin, si nos deux SUV proposent un toit panoramique moyennant monnaie sonnante et trébuchante, celui du Hyundai a le mérite de s’ouvrir. Une fonctionnalité que Renault n’a malheureusement pas jugée essentielle… Autant dire qu’avec sa dotation pléthorique et sa garantie de cinq ans (deux seulement pour l’Austral), le Tucson conserve une petite longueur d’avance au chapitre budget, même s’il doit s’acquitter, si hybride soit-il, de 150 € de malus (132 g/km de CO2).
À conduire
Deux beaux bébés que ces SUV s’étirant sur 4,51 m de long. Mais avec une différence « de poids », le Tucson affichant 240 kg de plus à la pesée ! Un embonpoint qui ne passe pas inaperçu à son volant. Lorsque la route devient sinueuse et que l’on force un peu l’allure, le coréen souffre d’amples mouvements de caisse et tend à élargir sa trajectoire vers le bas-côté. Rien de caricatural, encore moins de dangereux, mais un train avant plus incisif et une direction plus informative atténueraient sans aucun doute ce toucher de route un rien guimauve.
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L’Austral E-Tech se contente d’un trois-cylindres 1.2. Le Tucson Hybrid fait lui appel à un quatre-cylindres 1.6. Avec l’aide de leur machine électrique, ils délivrent respectivement 200 et 230 ch.
Clément Choulot
À train de sénateur comme à rythme soutenu, l’Austral se révèle bien plus homogène et tutoie désormais l’efficacité du Peugeot 3008. On se régale de ses changements d’appui maîtrisés (faible roulis), du grip de son train avant sur le sec comme sur le mouillé et du calibrage – léger mais précis – de son gouvernail. Précision importante : notre modèle d’essai profitait de l’option 4Control (1 800 €), qui permet de réduire significativement le rayon de braquage par le biais de roues arrière directrices. Un avantage indéniable, y compris en manœuvres, l’Austral ainsi équipé ne nécessitant que 10,10 m pour dessiner un cercle (mieux qu’une Clio !), contre 11,20 m sans le 4Control.
Revers de la médaille, avec son amortissement plus figé et ses grandes roues de 20 pouces réservées à la finition Iconic Esprit Alpine, l’Austral – sans pour autant se montrer inconfortable – filtre plus fermement les saignées et dos-d’âne que le Tucson, plus prévenant pour les passagers. Les pneus taille basse du français résonnent également davantage dans l’habitacle sur certains types de revêtement. Chez Hyundai, nos griefs vont plutôt à l’encontre de la position de conduite, un tantinet haut perchée pour les grands gabarits. Les commandes de sa boîte automatique (quatre boutons sur la console centrale) sont aussi moins évidentes à manipuler que celles de son adversaire, situées à portée de doigt derrière le volant, à l’instar des palettes destinées à moduler l’intensité du freinage régénératif (quatre niveaux à disposition). Une fonctionnalité que le Tucson ignore, les siennes pilotant simplement le mode manuel de la boîte automatique.
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Bel équilibre routier de la part de l’Austral, qui profite d’une direction précise et d’un châssis agile… notamment avec les roues arrière directrices à 1 800 €.
Clément Choulot
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Une direction moins « guimauve » et un train avant plus incisif permettraient au Tucson d’enchaîner les virages avec davantage de virtuosité.
Clément Choulot
S’agissant justement des transmissions, deux technologies s’opposent. On trouve du classique dans le camp sud-coréen, avec une boîte à convertisseur à six rapports. Très douce, celle-ci se montre en revanche bien moins réactive que la DCT7 à double embrayage connue sur d’autres modèles du groupe Kia-Hyundai et n’a clairement pas été conçue pour encaisser les 350 Nm de couple cumulé du Tucson hybride. L’Austral hérite quant à lui de l’originale boîte multimode à crabots étrennée par les Clio, Captur, Mégane et Arkana E-Tech. Parfaitement au point désormais sur ces modèles, elle laisse curieusement réapparaître ses défauts de jeunesse sous les jupons de l’Austral, entre lenteur, hésitations et à-coups désagréables ! La marque au losange nous a promis, main sur le cœur, qu’il ne s’agirait plus que d’un mauvais souvenir sur les voitures livrées aux clients à compter du mois de décembre. Comptez sur nous pour revenir sur le sujet en temps voulu…
Nonobstant ces imperfections, espérons-le passagères, la douceur de conduite domine, avec des transitions électrique/thermique fluides et une insonorisation de qualité une fois le nouveau trois-cylindres turbo parvenu à bonne température (quelques vibrations et claquements se font encore sentir à froid). Un bel agrément que l’on doit également aux performances honorables de cette version E-Tech, même si l’on connaît cavalerie plus démonstrative que ses 200 ch, y compris en mode Sport. Malgré sa masse supérieure, le Tucson « dépote » davantage, avec un cylindre et 30 ch de plus à son actif. Plus souple et encore mieux insonorisé que le français, il n’en demeure pas moins aseptisé.
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En ville, l’Austral hybride roule régulièrement en mode électrique. Batterie bien chargée, il se déplace facilement jusqu’à 50 km/h sans démarrer le trois-cylindres.
Clément Choulot
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Le coréen ne roule pas assez longuement sur son moteur électrique en ville. Son quatre-cylindres est souvent mis à contribution.
Clément Choulot
Son principal talon d’Achille reste la gourmandise, sachant qu’il rechigne à circuler aussi fréquemment que l’Austral en électrique. Et aussi longuement. Comptez 20-25 km/h maxi, avec le pied léger, quand le français accroche régulièrement les 50 km/h avant de réveiller son moteur essence, lorsque sa batterie est suffisamment chargée. De quoi économiser un petit litre d’essence en moyenne par rapport au coréen. C’est ce que confirment les consommations WLTP officielles (voir la fiche technique) comme celles que nous avons relevées à l’ordinateur de bord durant nos essais : 6,4 l/100 km chez Renault, 7,1 l/100 km chez Hyundai.
À vivre
De gabarits comparables, nos duettistes se classent parmi les SUV compacts les plus accueillants. Leur second rang révèle un espace habitable bien supérieur à celui des Peugeot 3008 et Citroën C5 Aircross, pour ne citer que les deux modèles préférés des familles françaises dans cette catégorie. Côté soute à bagages en revanche le Tucson prend le large, revendiquant 616 l contre 430 l pour son rival avec la banquette en position reculée (555 l banquette avancée, mais l’espace aux jambes en prend alors pour son grade). Autre atout du coréen : sa surface de chargement parfaitement plane une fois les dossiers rabattus. À bord de l’Austral, le plancher de coffre non ajustable ne s’aligne pas à hauteur des sièges. Impardonnable en 2022.
La planche de bord 100 % numérique, empruntée à la Mégane électrique, séduit autant par son design que par son ergonomie. Clément Choulot
Outre sa belle sellerie mixant tissu « carbone » et Alcantara, cette version haut de gamme profite de sièges électriques chauffants. Clément Choulot
Point fort de l’Austral : son habitabilité. Avec la banquette coulissante reculée à fond, l’espace aux jambes est l’un des meilleurs de la catégorie. Clément Choulot
Avec seulement 430 l affichés banquette arrière reculée, le coffre de l’Austral figure dans la moyenne basse de la catégorie. Clément Choulot
La planche de bord symétrique du Tucson a certes du charme, mais certains plastiques manquent de prestance. Clément Choulot
Comme chez Renault, l’instrumentation numérique de 10,25 pouces change d’aspect en fonction du mode de conduite choisi (deux seulement : Sport ou Éco). Clément Choulot
Pas de banquette coulissante à bord du Tucson, mais un bel espace malgré tout pour les jambes. Clément Choulot
Parmi les petites attentions dont peuvent profiter les passagers arrière : ces stores pare-soleil. Clément Choulot
Vous avez sous les yeux l’un des coffres les plus volumineux de la catégorie des SUV compacts : 616 l. Clément Choulot
Nous l’avons relevé précédemment, le Tucson N-Line Executive met le paquet sur les équipements. Rien ne lui manque ! Et, à l’instar de la finition Iconic Esprit Alpine pour l’Austral, son ambiance intérieure « sport-chic » s’avère plutôt sexy. Toutefois, en l’observant plus en détail, on tique sur la qualité moyenne de certains plastiques, qui choquerait moins dans une petite citadine. Renault, à l’inverse, réalise un sans-faute. Avec ses matériaux haut de gamme et ses assemblages aux petits oignons, le SUV tricolore renvoie ses rivaux dans les cordes !
Le français garde également l’avantage du nombre et de la taille des rangements. Comme des aspects pratiques par ailleurs. On apprécie ainsi sa banquette coulissante et son repose-main ajustable sur la console, bien agréable lorsque l’on souhaite pianoter au bas de l’écran ou régler la température (la climatisation se pilote via un « clavier » indépendant au bas de la console). Égalité en revanche concernant le nombre de prises USB : deux à l’avant et deux à l’arrière !
Notre choix : Hyundai Tucson
L’Austral l’emporte côté cœur avec son comportement routier alerte, sa présentation intérieure haut de gamme, son appétit mesuré et son système d’info-divertissement dernier cri (merci Google !). Mais, côté raison, c’est bien le Tucson qui s’impose. À peine plus onéreux, il offre davantage de douceur, de confort, d’équipements, de volume pour les bagages, ainsi qu’une mécanique plus performante. Pour ne rien gâcher, il est joliment emballé et garanti cinq ans.
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Le premier atout du Hyundai Tucson est sa forte personnalité. Impossible de le confondre avec un quelconque congénère.
Clément Choulot
Renault Austral
On aime
- Sa présentation intérieure soignée
- Son système Google Maps à la pointe
- Son comportement routier plaisant
On regrette
- Le coffre moyennement volumineux
- Pas de plancher plat, banquette rabattue
- La boîte lente et remuante (problème bientôt résolu ?)
Hyundai Tucson
On aime
- Le confort et le silence de conduite
- La richesse de l’équipement et la garantie 5 ans
- Le style et les meilleures performances
On regrette
- Son comportement peu dynamique
- La présence de plastiques pas toujours très chic
- L’ergonomie « brouillon » du système multimédia
Fiche technique
Budget à l’achat | ||
Marque modèle | Renault Austral | Hyundai Tucson |
Version | 1.2 E-Tech Full Hybrid | 1.6 T-GDi Hybrid |
Finition | Iconic Esprit Alpine | N-Line Executive |
Prix (€) | 44 900 € | 45 350 € |
Puissance fiscale (CV) | 7 | 10 |
Rejets CO2 (g/km) | 104 | 132 |
Malus 2022 (€) | aucun | 150 |
Malus au poids (€) | aucun | aucun |
Garantie voiture | 2 ans – km illimité | 5 ans – km illimité |
Dimensions | ||
Longueur (m) | 4,51 | 4,51 |
Largeur sans rétroviseurs (m) | 1,83 | 1,87 |
Hauteur (m) | 1,64 | 1,66 |
Empattement (m) | 2,67 | 2,68 |
Volume de coffre (l) | 430/555 | 616 |
Capacité du réservoir (l) | 55 | 52 |
Pneus de série | 235/45 R20 | 235/50 R19 |
Poids à vide (kg) | 1 517 | 1 760 |
Fiche technique | ||
Moteur thermique | 3 cyl. turbo 1.2 | 4 cyl. turbo 1.5 |
Cylindrée (cm3) | 1 199 | 1 598 |
Puissance (ch) – couple (Nm) thermique | 130 – 205 | 180 – 265 |
Puissance (ch) – couple (Nm) électrique | 50 + 25 – 50 | 60 – 264 |
Puissance cumulée (ch) | 200 | 230 |
Couple cumulé (Nm) | nc | 350 |
Capacité utile batterie (kWh) | 2 | 1,49 |
Transmission | aux roues avant | aux roues avant |
Boîte de vitesses | auto. type crabots | auto. 6 rapports |
Performances et consommation | ||
De 0 à 100 km/h (s) | 8,4 | 8 |
Vitesse maximale (km/h) | 175 | 193 |
Conso mixte WLTP (l/100 km) | 4,6 | 5,5 |
Équipements de série en commun
Compteur numérique (12,3” dans l’Austral, 10,25” dans le Tucson). Écran tactile (12” dans l’Austral, 10,25” dans le Tucson). Apple CarPlay et Android Auto. Chargeur à induction. Navigation GPS (Google Maps dans l’Austral). Régulateur de vitesse adaptatif avec Stop & Go. Maintien auto dans la voie. Freinage d’urgence auto. Lecture des panneaux. Avertisseur d’angles morts (par caméra dans le Tucson). Modes de conduite. Accès et démarrage mains libres. Climatisation auto bizone (trizone dans le Tucson). Sellerie Alcantara. Sièges avant électriques et volant chauffants. Caméra à vision 360°. Hayon motorisé. Vitres arrière surteintées. Allumage automatique des phares et essuie-glaces. Phares avant adaptatif full LED. Barres de toit longitudinales. Jantes en alliage (20” pour l’Austral, 19” pour le Tucson).
Équipements différenciants et options
Marque modèle | Renault Austral | Hyundai Tucson |
Affichage tête haute | 700 € | nd |
Feux adaptatifs Matrix LED | 800 € | nd |
Pare-brise chauffant | 100 € | nd |
Système audio premium | 850 € (H. Kardon) | série (Krell) |
Peinture métallisée | 650 € | 650 € |
Toit panoramique | 800 € (fixe) | 990 € (ouvrant) |
Banquette coulissante | série | nd |
Services connectés Google | série | nd |
Affichage caméra des angles morts | nd | série |
Climatisation à l’arrière | nd | série |
Sièges avant ventilés | nd | série |
Banquette chauffante | nd | série |
Store pare-soleil dans les portes arrière | nd | série |
Commande à distance sortie de stationnement | nd | série |
Suspension pilotée | nd | 800 € |
Roues arrière directrices | 1 800 € | nd |
nd : non disponible