- Motorisations disponibles
- Ford Transit : ce qui fait la différence
- Ford Transit Trail ou 4×4 : c’est possible
- Camper-vans sur e-Transit : déjà sous forme de prototype
C’est LA grande tendance du moment : la plupart des grandes marques de fourgons aménagés ont intégré le Ford Transit dans leurs gammes. On trouve donc des déclinaisons sur Ford d’implantations qui existaient déjà sur Fiat Ducato, ou même des modèles spécifiques sur Ford. Les aménageurs mettent aussi en avant les atouts de ce porteur : sa hauteur sous plafond, sa boîte auto, la possibilité de le décliner en 4×4.
L’essor du Ford Transit est une des tendances du moment dans l’objectif de diversification des porteurs. Avec lui, ce sont deux longueurs qui se révèlent pertinentes pour les aménagements, 5,53 m (encore rare) et surtout 5,98 m, pour une hauteur hors-tout qui fl irte avec les 2,80 m et qui assure ainsi une bonne hauteur intérieure (dans les 2,00 m).
Motorisations disponibles
Vans Weinsberg sur porteur Ford Transit
Sous le capot du Ford Transit, quatre moteurs sont à signaler, avec un 2.0 EcoBlue au choix en 105 ch, 130 ch, 170 ch ou 185 ch. Reste que ce sont surtout les blocs 130 ch et 170 ch que l’on retrouve aujourd’hui dans les différents catalogues des aménageurs, avec boîte manuelle ou boîte auto selon les prestations visées.
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Ford Transit : ce qui fait la différence
Fourgon aménagé sur Ford Transit
Ford Transit : ouverture du capot
Ford Transit : cabine de conduite
- Motorsations et aides à la conduite : les fourgons aménagés sur Transit sont souvent proposés en version standard avec la motorisation 2,0 litres 130 ch, et parfois 170 ch. Un bon lot d’aides à la conduite de pointe est proposé (aide au maintien dans la voie, alerte de franchissement de ligne et freinage d’urgence automatique, aide au stationnement, etc.)
- Dimensions : la plupart des fourgons aménagés sur Ford Transit actuellement sur le marché sont basés sur une version de 5,98 m de long, 2,06 m de large et 2,84 m de haut.
- Une position de conduite agréable : le conducteur bénéficie de bonnes possibilités de réglages de la colonne de direction et du siège. Mais l’assise est ferme.
- Ouverture du capot : elle s’effectue à l’aide de la clef de contact (sur un verrou placé en haut de la calandre). Le capot offre une bonne ouverture, permettant un accès facilité à la mécanique.
- Rétroviseurs : ils sont plus grands que sur le Fiat Ducato (et méritent donc une vigilance supplémentaire lors des croisements) mais se replient parfaitement le long de la carrosserie.
- Sièges pivotants moins pratiques : la poignée est basse et peu visible. Elle écorche un peu les doigts. Le frein à main est déporté du côté gauche (comme sur le Ducato), mais son maniement n’est pas très aisé.
- Ouverture de porte réduite : nous parlons ici de la porte de cabine qui offre une ouverture de 85 cm seulement (contre 119 cm pour le Ducato).
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Ford Transit Trail ou 4×4 : c’est possible
Le porteur à l’ovale bleu, par ailleurs, déjà un peu « looké à l’américaine » avec sa large calandre hexagonale, peut gagner d’autres attributs en version Trail: les lettres Ford sont alors en maxi-format sur la grille de calandre noir mat, les bas de caisse sont noirs, tout comme les jantes alu de 16 pouces, et un différentiel à glissement limité équipe cette finition, permettant d’aller un plus loin sur les terrains glissants ou difficiles (notez néanmoins que la version Trail n’est proposée qu’en boîte manuelle, en 2.0 EcoBlue 130 ch ou 170 ch. Pour encore plus d’aventure, c’est aussi une transmission intégrale qui peut être retenue pour optimiser le potentiel du grand Ford. À partir d’un châssis en propulsion, ce mode 4×4 est évidemment géré par l’électronique pour répartir le couple entre les quatre roues, pouvant envoyer jusqu’à 50 % du couple sur l’essieu avant.
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Nous prenons le volant du Ford Transit Trail
Camper-vans sur e-Transit : déjà sous forme de prototype
Crédit photo : Winnebago
Oui, le fourgon électrique e-Transit est bien opérationnel. Mais l’utilisation en version camper-van n’est pour l’instant concrétisée que par des prototypes. La raison est simple : l’autonomie de ces utilitaires électriques convient aux livreurs, mais reste limitée pour le voyage. L’un des concept-vans récemment présentés, le Winnebago eRV2, peut rouler… 174 sans être rechargé. la version utilitaire, elle, revendique 317 km d’autonomie.
Nous avons testé l’e-Transit
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