Comme la compacte CT dans les années 2010, le nouveau LBX est l’occasion pour Lexus d’aller batailler sur un terrain où il n’est encore jamais allé : les petits SUV. D’autant que les arguments sont nombreux pour réussir.
Malgré sa petite taille, ce LBX reste une Lexus. Et s’il emprunte sa base technique à la Toyota Yaris Cross, il s’en différencie nettement côté présentation, avec une architecture de planche de bord et une qualité de présentation sans commune mesure, grâce à des matériaux plus valorisants dans l’habitacle. Plus soigné que sa compatriote, le LBX l’est aussi plus que ses concurrents lointains, Renault Captur et Peugeot 2008 en tête. Le LBX n’a, à vrai dire, pas véritablement de concurrent direct, tant il représente les valeurs de la marque tournées vers l’excellence de son savoir-faire. A l’extérieur, sa personnalité reste consensuelle, avec des formes et des signatures lumineuses à même de plaire au plus grand nombre.
Enfin, pour séduire en France et plus largement sur le continente européen, le LBX peut évidemment compter sur sa motorisation hybride auto-rechargeable. Vue sur les Toyota Yaris et Yaris Cross, son efficience n’est plus à prouver. Le petit SUV Lexus inaugure même une variante un peu plus puissante portée à 136 ch. Nos mesures indépendantes le confirmeront sans doute prochainement mais nos premiers contacts au volant du japonais nous permettent déjà d’assurer qu’il consomme peu et qu’à ce titre, il excellera dans l’usage urbain et périurbain.
Notez cet article Publié le 12/03/2024 à 16:46