Rien ne va plus entre Stellantis et le gouvernement canadien. Annoncée en mars 2022, le groupe devait construire une usine de batteries qui ne verra peut-être pas le jour à cause d’un différend entre les deux parties.
Quoi qu’il en soit, une solution est recherchée pour éviter une rupture totale : “Je suis très confiant que nous parviendrons à un accord”, déclare François-Philippe Champagne, ministre canadien de l’Industrie.
Le gouvernement a affirmé être en pourparlers avec la direction de Stellantis et qu’une solution sera rapidement trouvée. S’adressant aux journalistes, la ministre des Finances a tenu à préciser que “les ressources du gouvernement fédéral ne sont pas infinies” ; Stellantis en demandait-il trop ? Affaire à suivre.