- Les grandes entreprises françaises ne jouent pas toutes le jeu, loin s’en faut, du verdissement de leur flotte
- Le rapport annuel de T&E pointe les mauvais élèves en la matière
- Les bons et les mauvais élèves
- Comme une lettre à La Poste
- Les influenceurs
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Les grandes entreprises françaises ne jouent pas toutes le jeu, loin s’en faut, du verdissement de leur flotte
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Le rapport annuel de T&E pointe les mauvais élèves en la matière
Les bons et les mauvais élèves
Certes, c’est un peu mieux qu’en 2022 (66% de ces mêmes entreprises n’étaient pas dans les clous en matière de VFE), mais, clairement, toujours hors-la-loi. Parmi les mauvais élèves, l’étude de T&E, notamment portée par l’analyse des données fournies par les immatriculations des véhicules de la base du ministère de l’Intérieur (base SIV) et dans celle appelée Sirene de l’Insee, pointe du doigt le Groupe Iliad (Free), avec 397 véhicules neufs immatriculés l’année dernière, dont seulement 1 % de véhicules électriques, mais aussi Air Liquide avec 237 nouveaux véhicules reçus en 2023 pour 1% de VE et 6% d’hybrides rechargeables !
Comme une lettre à La Poste
C’est aussi très faible pour Carrefour (3 593 nouveaux véhicules en 2023, 1 % en électrique et 3 % en hybride rechargeable) et à peine mieux pour la SNCF qui a immatriculé 7932 nouveaux véhicules l’année passée sur notre sol dont 4% de purs électriques. A contrario, un acteur comme La Poste a lui “acheté” 11 145 nouveaux véhicules en 2023, dont 46 % sont des électriques et 1 % des hybrides rechargeables. Bon point aussi pour EDF, qui a immatriculé l’an passé 7 167 nouveaux véhicules avec, côté verdissement de sa flotte, un mix représenté par 40 % en électriques et 17 % en hybrides rechargeables.
Les influenceurs
*Source : A&T et Flotauto.com
Notez cet article Publié le 22/02/2024 à 11:45 Véhicules d’occasion