Vendu depuis le printemps 2019, le DS 3 Crossback ne rencontre pas le succès commercial escompté. DS a donc offert au SUV urbain, cousin du Peugeot 2008, un restylage pour tenter de changer la donne. Sa version électrique gagne aussi en puissance et en autonomie.
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DS offre un restylage à son SUV urbain et en profite pour le rebaptiser. Le DS3 Crossback devient DS3.
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[Mis à jour le 26/09/2022] Le DS3 Crossback n’est plus, vive le DS3 ! Le SUV urbain de DS reprend la dénomination de la citadine, qui a disparu du catalogue en janvier 2020. Les changements sont légers pour le DS3 restylé qui reçoit notamment de nouveaux feux de jour. Sous le capot, trois motorisations sont proposées : essence (110 et 130 ch), diesel (130 ch) et électrique. La version E-Tense profite d’une augmentation de la puissance à 156 ch (au lieu de 136 ch) et d’une batterie d’une plus grosse capacité (54 kWh). L’autonomie est désormais portée à 402 km. Le ticket d’entrée du DS3 restylé est désormais fixé à 30 100 €.
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Trois motorisations sont proposées : essence, diesel et 100 % électrique avec désormais 400 km d'autonomie.
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Un SUV urbain moins vendu qu’un modèle familial ? Dans un marché français toujours très porté sur les petites voitures, ce n’est pas banal. Pourtant, en 2021, le DS 3 Crossback a trouvé 2 756 acheteurs de moins que son grand frère le DS 7, bien plus encombrant et onéreux ! On est donc loin de l’engouement suscité par la première DS3, une citadine à trois portes qui avait permis la renaissance du label DS. Mais les designers et ingénieurs de la jeune marque française espèrent bien inverser la tendance en offrant à ce baroudeur des villes un restylage assez important, prévu pour le printemps 2023, quelques mois après celui du DS 7 Crossback. Un premier prototype de ce DS 3 Crossback « phase 2 » vient d’ailleurs d’être surpris en Espagne par des photographes espions.
Nouveau visage façon DS 4
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L'illustration que nous vous avions dévoilée à l'automne 2021 annonçait déjà un air de famille accru avec la DS 4.
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Pour l'heure, les feux arrière sont identiques à ceux du modèle actuel, mais leur signature lumineuse pourrait être revue.
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Concentré sur l’avant, le camouflage s’efforce de masquer les principaux changements prévus. Il suffit cependant d’un coup de zoom pour en deviner certains. Au lieu de former de minces traits en pointillés aux lignes douces, les feux de jour sont désormais continus, dédoublés et plus acérés. L’inspiration est ici évidente : elle provient de la compacte DS 4, la dernière nouveauté lancée par DS en 2021. Même topo pour le nouveau dessin du bouclier ou encore pour les phares, qui semblent délaisser leurs rondeurs un peu tourmentées et s’affiner. Soucieux de créer un air de famille, les designers paraissent aussi avoir voulu renforcer l’agressivité de ce petit SUV. Parmi les reproches formulés dans les enquêtes de satisfaction, les clients pointent le côté trop féminin du véhicule. De l’arrière comme de profil, en revanche, on ne distingue pour l’instant pas la moindre modification. S’il y a des évolutions, elles s’annoncent dès lors plus discrètes qu’à l’avant, comme des jantes inédites ou une nouvelle signature lumineuse.
Des changements sous le capot
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Une nouvelle transmission automatique à double embrayage, développée avec Punch Powertrain, permettra de proposer une hybridation légère 48 V sur le 1.2 PureTech.
Stellantis Metz
L’habitacle est, lui, resté à l’abri des objectifs. Simple restylage oblige, DS ne pourra répondre aux critiques formulées à l’encontre de l’habitabilité arrière. Il faudra attendre la deuxième génération de DS 3 Crossback, prévue pour 2026 et basée sur la nouvelle plate-forme STLA Small, pour espérer voir ce défaut corrigé. Lors de ce lifting de mi-carrière, c’est plutôt le système multimédia qui devrait profiter de quelques améliorations. Mais il y aura aussi du nouveau sous le capot, bien que cela ne soit pas forcément le cas dès le lancement. Le trois-cylindres 1.2 PureTech essence va bientôt entrer dans une nouvelle ère, avec une chaîne de distribution au lieu d’une courroie et une hybridation légère utilisant une transmission automatique à double embrayage originale développée avec Punch Powertrain. Quant à la version électrique e-Tense, elle recevra un nouveau moteur fabriqué en interne, à Trémery, et conçu avec le japonais Nidec. La batterie fournie par CATL permettra de gagner quelques kilomètres d’autonomie. Ce nouveau moteur se retrouvera sur la seconde mouture, qui sera totalement privée d’offre thermique.
Source images : motor.es
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